Le rendez-vous était fixé à 10h. Je croise jeff en arrivant. En entrant dans l'ENS, il me montre ce qui a été fait la veille : les 1080 signes + et - (désolé j'ai fait un tiret par paresse, ce n'est pas le vrai signe moins...) ont pris place sur chacun de leurs carreaux dédiés. Mieux : une bonne partie de la signalétique intérieure est en place. Dans la cour, les premiers ballons étaient déjà suspendus, et les filins vides en disant long sur ce qui restait à faire. Étant un peu en avance (sur le reste de l'équipe en tout cas), nous passons faire un petit coucou aux Science Ac' 2012, qui finissent leur petit déjeuner. L'entrevue sera brève, car je croise le régisseur du festival pour faire le point par rapport aux deux spectacles Science Ac', le concert et la pièce de théâtre. Les nouvelles ne sont pas bonnes, les moyens techniques étant très limités cette année. Si (de moins de vue en tout cas) l'Opéra Rock des idées se prête mieux à ces nouvelles contraintes, côté [in]fusion, il y a de quoi faire la soupe à la grimace. Moi qui n'avait pas suivi leur préparation, et dont les préoccupations portaient plus sur le côté «glamour» («qui sera leur nouveau bassiste ? Y aura-t-il d'autres Guest Star cette année ?), je culpabilisais de voir que les vraies questions n'étaient pas de cet ordre là. Le moins que je pouvais faire était une séance SMS, quitte à arriver en retard au début des préparatifs.
Ce matin, Nous formons deux équipes : une équipe scéno pour les ballons de la cour du NIR [au fond de l'ENS], et une équipe collage d'affiches dans les couloirs du batiment principal. Va pour les ballons ! L'équipe accompagnant Laurent (le scénographe) est composée ce matin d'un pousseur-passeur (pour déplacer l'échafaudage), un passeur attitré pour placer les balles sur l'échaffaudage et de trois personnes viellants au réapprovisionnement des ballons. Je pars avec Nina ouvrir la salle où ils sont entreposés. Il faut les remonter en suivant des proportions précises de couleurs (cinq blancs pour deux noirs, un rouge et un bleu). Prenant mes fonctions, je suis surpris que ma capacité d'emport (terme qui a beaucoup plu à Nina !) n'est que de 4 ballons ! Voilà qui promet de nombreux-allers retours...À force de me hâter pour m'aménager du temps pour une séance SMS avec la troupe de l'OR et les musiciens d'[in]fusion ainsi que pour le LiveTweet (pour rappel #FestivalPM), vient un moment où j'avais trop de ballons d'avances...Je me retrouvais avec Jeff et Gabriel avec des ballons bleu blanc rouges....et noirs à nos pieds. L'inévitable se produisit. Nous nous amusons sur nos temps de pose à former quelques molécules. Ce fut essentiellement des molécules simples pour cette matinée (dihydrogène, dioxygène, eau et dioxyde de carbone). Mes cousins arrivent à peu près à ce moment, l'occasion de tester leurs connaissances à leur sujet.
Lors de la reprise, je passe ma capacité d'emport à cinq ballons, mes cousins doivent débuter avec trois le temps de se faire la main. Entre temps nous auront le droit à du soleil...puis une averse (tous aux abris !). En attendant la reprise, je rejoins Nina au sous-sol, qui regonfle les ballons qui ont mal passé la nuit. Elle me raconte des anecdotes à leur sujet, puis nous auront l'occasion de faire quelque échange de Volley. Avec le retour du soleil, nous devrons replacer l'aimant géant au soleil pour le faire sécher, ce dernier avait pris la pluie la veille. Après la pluie, le vent, nous devons aménager un enclos de fortune pour la vingtaine de ballons présents dans la cours.
13h, On passe à table. L'occasion de faire connaissance avec les nouveaux Sciences Ac'. À mon grand étonnement, Je réalise que je ne me souviens pas des visages de ceux que j'ai déjà eu l'occasion de voir (j'ai normalement croisé ceux de Lille et de Paris, pour avoir assisté à ces deux congrès), et cette situation me rappelle que bien que je n'en donne pas l'impression à force de travailler mon approche, je n'en reste pas moins timide (faire connaissance avec autant de monde d'un coup ?), mais en procédant petit à petit, la discussion se centre vers 2-3 nouveaux certes, mais elle s'enrichit. Le repas me paraîtra assez rapide, et ce sera frustrant de quitter les questions autour des algorithmes et de la cryptographie quantiques avec Jonas (Je sais, ce n'est pas un Science Ac' 2012, mais la discussion en impliquait également), pour la suite du programme.
Nous nous retrouvons dans la cour du NIR, avec les nouveaux arrivants parmi les bénévoles et les anciens de l'équipe de l'affichage. Je comprends que si je veux voir prendre un jour prendre forme l'amoniac, le méthane, sa combustion, des alcools (au moins l'éthanol)...c'est maintenant ou jamais. J'implique toutes les personnes présentes, mais je n'arrive pas à décrocher suffisamment de poseurs et à établir une coordination suffisante pour tout cela. Nous formons un nouveau CO2, quelques méthanes, et mon amoniac...rien de plus. L'heure de la reprise a sonné. La réquisition pour les tâches logistiques fera passer l'équipe scéno à 4 bénévoles. Je remplace Gabriel pour les déplacements de l'échafaudage. Nous sommes très vites confrontés à la gestion des ballons dégonflés : étaient-ils mal fermés ou ont-ils vraiment un problème ? La proportions de ballons au statut incertain devient préoccudante, d'autant que le seul test demeure l'attente d'un évtentuel dégoflement. Nous auront le droit à une seconde alerte pluie, ce qui nous incitera à remttre l'aimant à l'abri. Côté approvisionnement, alors que j'avais porté ma capacité d'emport nominale à cinq ballons, voilà que Linda, qui me remplace, arrive à en porter sept !
Peut avant que je la relaie elle me montre sa technique. Peu après, c'est Aymeric qui me remplace qui bat le record avec huit ballons !!!
Nous arriverons finalement à un point où nous ne disposons pas assez de ballons blanc pour terminer, et de trop de ballons rouges et noirs. Deux d'entre eux sont donnés en pature pour le quartier libre de la fin de journée : très vite, c'est une balle aux prisonniers qui se met en place dans la cour. Côté logistique, il reste une salle à préparer, ce qui garantie une fin de journée à 17h pour tout le monde.
Lors de la reprise, je passe ma capacité d'emport à cinq ballons, mes cousins doivent débuter avec trois le temps de se faire la main. Entre temps nous auront le droit à du soleil...puis une averse (tous aux abris !). En attendant la reprise, je rejoins Nina au sous-sol, qui regonfle les ballons qui ont mal passé la nuit. Elle me raconte des anecdotes à leur sujet, puis nous auront l'occasion de faire quelque échange de Volley. Avec le retour du soleil, nous devrons replacer l'aimant géant au soleil pour le faire sécher, ce dernier avait pris la pluie la veille. Après la pluie, le vent, nous devons aménager un enclos de fortune pour la vingtaine de ballons présents dans la cours.
Peut avant que je la relaie elle me montre sa technique. Peu après, c'est Aymeric qui me remplace qui bat le record avec huit ballons !!!
Nous arriverons finalement à un point où nous ne disposons pas assez de ballons blanc pour terminer, et de trop de ballons rouges et noirs. Deux d'entre eux sont donnés en pature pour le quartier libre de la fin de journée : très vite, c'est une balle aux prisonniers qui se met en place dans la cour. Côté logistique, il reste une salle à préparer, ce qui garantie une fin de journée à 17h pour tout le monde.
Ainsi, la fin de journée bénévole se termine peu avant le goûter des Sciences Ac'. Comme je ne m'attendais pas à finir aussi tôt, c'est une aubaine de pouvoir passer un peu de temps avec eux, je regrette toujours de ne pas pu les voir plus tôt dans la semaine, Nous arrivons à temps pour la répartitions des activités, Tazzio, Nina, Aymeric et moi décidons tous de rester avec le groupe restant sur places (deux des groupes vont faire les magasins). C'est l'occasion de faire connaissances avec d'autres nouveaux Science Ac', même si les anciens que nous formons serons moins répartis sur le groupe que lors du repas.
La pluie, qui ne faisait que menacer jusqu'à présent, finit enfin par mouiller. Comme Camille est là, Aymeric et moi prenons le temps de la rencontrer pour faire le point sur les modalités pratiques autour de l'Opéra Rock des Idées version 2012. Nous apprenenont ensuite que les Science Ac' sont simplement remontés dans leurs chambres, certains d'entre eux jouant à des jeux de société dans la cuisine de l'étage. La discussion sera plus longue que je ne n'aurais pu le croire, car lorsque je rejoins les Science Ac', ils ont déjà remballé le Skull And Roses pour un Jungle Speed (comprendre «délaissé un jeu que j'adore au profit d'un jeu que j'apprécie au mieux en tant que spectateur»). La partie, bien que laissant peu de suspens quant aux vainqueurs et aux perdants, paraît interminable. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, cette partie aussi, étrangement. Le choix du jeu suivant porte sur le Times Up, avec un buzzer «au décompte final stressant» en lieu et place du traditionnel sablier. Nina, Aymeric et moi nous prêtons au jeu, ce sera «les jeunes contre les vieux». Les vieux ne gagneront que la dernière manche, et encore, avec un score serré.
La pluie, qui ne faisait que menacer jusqu'à présent, finit enfin par mouiller. Comme Camille est là, Aymeric et moi prenons le temps de la rencontrer pour faire le point sur les modalités pratiques autour de l'Opéra Rock des Idées version 2012. Nous apprenenont ensuite que les Science Ac' sont simplement remontés dans leurs chambres, certains d'entre eux jouant à des jeux de société dans la cuisine de l'étage. La discussion sera plus longue que je ne n'aurais pu le croire, car lorsque je rejoins les Science Ac', ils ont déjà remballé le Skull And Roses pour un Jungle Speed (comprendre «délaissé un jeu que j'adore au profit d'un jeu que j'apprécie au mieux en tant que spectateur»). La partie, bien que laissant peu de suspens quant aux vainqueurs et aux perdants, paraît interminable. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, cette partie aussi, étrangement. Le choix du jeu suivant porte sur le Times Up, avec un buzzer «au décompte final stressant» en lieu et place du traditionnel sablier. Nina, Aymeric et moi nous prêtons au jeu, ce sera «les jeunes contre les vieux». Les vieux ne gagneront que la dernière manche, et encore, avec un score serré.
La faim pousse les Science Ac' dans les couloirs des dortoirs, que nous trouvons moins propices à la discussion. Nous décidons de descendre prendre l'air dans la cour du NIR, j'ouvre une séquence nostalgie en permettant à mes trois acolytes de faire quelques tours de la cour à l'aide de ma trottinette. C'est en constatant qu'il était 20h32 que je compris que j'allais me coucher très tard : Je devais faire un détour chez ma tante avant de rentrer pour vous écrire ce petit billet. Nous remontons retrouver les Science Ac' au complet (ceux étant partis faire les magasins étaient de retour), nous leur disons au revoir avant de partir dîner dans le quartier.
Demain matin, ce sera l'aménagement du QG du festival. Camille nous montrera la salle où l'on jouera pour discuter des derniers détails techniques. Je travaillerais également la chorégraphie avec Léna.
Voilà pour aujourd'hui ! Il se peut que j'ai un peu compressé la fin de mon résumé, il est quand même 2h du matin (ce n'est d'ailleurs pas très sérieux de ma part de veiller avant un déménagement). Prochain billet à l'issu de ce programme domincal qui devrait être plus court.
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