vendredi 16 septembre 2016

Le problème, ce n’est pas l’automobiliste, c’est l’automobile.

On dit souvent qu’une personne perds dix points de QI lorsqu’elle prend le volant de ce véhicule. Je trouve cela aussi amusant que symptomatique.

Cycliste dans l’âme, j’entends souvent dire que Paris à vélo, c’est au mieux dangereux, au pire de la folie suicidaire. Et pour l’avoir expérimenté, il est amusant que nous n’avons pas les mêmes idées en tête en pensant à ce danger supposé. 

Car les premiers visés, ce sont les automobilistes, et force est de constater qu’ils sont plutôt corrects dans l’ensemble. Avec 5000km de vélo en ville par an, ma vraie bête noire, ce sont les piétons, inconscients des dangers qu’ils courent pour eux même. Mais là n’est pas le sujets.

Les automobilistes, dangereux ? Comme le dit Pierre Chasseret (oui, je cite Pierre Chasseret, et je le cite pour m’appuyer sur ses dires !), ce ne sont pas tous les automobilistes qui sont dangereux, mais une poignée d’entre eux (de l’ordre d’un pour-cent ?). Puisque c’est un adage qui revient souvent chez lui, il a surement dit également qu’il n’y a qu’une minorité d’entre eux qui sont incivilisés. 

Or, si j’écris ce billet, c’est pour souligner quelque chose qui aurait pu passer inaperçu, pas quelque chose que vous savez déjà. 

Il se trouve que le recoupement «automobiliste dangereux - chauffards» n’est pas total. Je ne discuterais pas ici du cas des chauffards non dangereux, et ne vais discuter que des honnêtes automobilistes qui sont malgré tout des dangers ambulants. 

Quand on manque de se faire transformer en steak par un automobiliste, trois réactions sont possibles :
«Ouf j’ai eu chaud»
«Quel danger public, il est irrécupérable»
«Quel danger public, allons-le voir pour discuter un peu»

Bon, pour le troisième cas (voire même dans tout les cas), il vaut mieux avoir été irréprochable de son côté.

Roulant beaucoup, je me suis souvent confronté au deux premiers cas, mais suffisamment du 3ème pour en faire une synthèse. 

Outre des gens qui visiblement (re)découvraient un article (voire un chapitre) du code de la route, force est de constaté que ce n’est que rarement la mauvaise foi qui motivait ces actions dangereuses (même si elle transparait souvent dans le discours, mais difficile de faire autrement lorsque l’on est en tort et mis devant le fait accompli, c’est tout à fait humain). Souvent, il s’agit d’une simple erreur de conduite (une erreur de conduite tous les 500 gestes d’après l’automobile club association), et parfois, d’une mauvaise évaluation de la situation

Chercher les déterminants derrières les risques suscités par ces trois sources de mise en danger des usagers «fragiles» de la route dont je fais partie ouvrirait un grand débat allant de la formation des automobiliste a la question de la tolérance du risque routier vis à vis d’autres risques (construits culturellement mais pas moins encrées en nous : on appréhende par exemple plus l’opération à cœur ouvert que le trajet aller ou retour vers l’hôpital en bagnole, ce qui est ridicule dans le fond !).

Gardons à l’esprit simplement que si l’automobiliste contribue à ce que le système automobile soit nuisible, ou, pour la question qui nous intéresse ici, dangereux, ce n’est pas délibérément (la plupart du temps). L’automobile pour tous, c’est aussi l’automobile quelque soit les capacités physiques, psychologiques, physiologiques, c’est d’une telle banalité qu’on ne se pose plus la question de sa pertinence, de ses nuisances, de ses alternatives. Et quand bien même on ose le faire, on considère qu’il s’agit d’un idéal à atteindre. qui ne nous concerne pas, nous, pauvre petit citoyen, qui n’a rien d’extraordinaire, qui ne peut faire autrement du fait de sa situation (physique, géographique, sociale…je n’ai pas le courage de vous faire ici un florilège d’excuses que l’on m’a sorties !), on reste admiratif devant celles et ceux qui s’en passent, sans savoir que la plupart du temps c’est pour les mêmes raisons que nous (parce que c’est plus pratique pour eux), d’avoir faire le choix contraire (je ne parle même pas de ceux qui ont simplement admis après réflexion ou expérimentation que ce système est trop nuisible pour qu’ils y contribue ou qu’ils y perdent leur temps, leur argent et leur santé).


Ce qui fait que des gens, bien sous tous rapports, peuvent aussi être des automobilistes (comme ils peuvent être mangeurs de viandes, etc..). C’est ainsi qu’ils peuvent se retrouver à pourir le restant de vos jours, voire vous tuer, après avoir passé des dizaines d’années à avoir été des citoyens ordinaires, voire tout à fait respectables…

samedi 23 juillet 2016

«Un oppresseur, moi ? Mais non, voyons, c'est impossible...»


Et si l'on brisait cet état des lieu en prenant conscience de notre responsabilité au problème ?

Je considère que sur Internet, il y a deux types de personnes : les «irrécupérables», et ceux qui se laissent influencer par ce qu'ils y trouvent. Car les sites, forums, blogs et consorts illustrent bien l'hypothèse de la fenêtre brisée : mal ou peu modérés, c'est (parfois, pas toujours...) la porte ouverte aux commentaires et échanges peu respectueux, voire offensants. 

À nous de prendre conscience que ce n’est pas parce que l’on a été exposé à ce type de réactions qu’il nous faire de même ou s’en inspirer, bien au contraire ! 

Trolls ou pas trolls ?

À celles et ceux qui pensent à de la méchanceté gratuite, détrompez-vous ! Nos réactions sur le net sont bien plus complexes. Qu’il s’agisse d’attirer l’attention sur soi, en tentant un trait d’humour, de défendre une cause en tombant dans le premier trait sophiste qu’est l’Ad Hominem, ou tout simplement exprimer un point de vue naïvement, sans manier avec les précautions nécessaire des concepts sensibles, les occasions sont nombreuses pour causer du tort à certains lecteurs (sinon tous…).

Pour en savoir plus sur les trolls, je n’ai pas trouvé mieux que cet épisode de SciShow (en version courte) ou leur vidéo source (en version longue). 

Pour ce qui est de celles et ceux qui tombent dans le cas du 1er paragraphe de thème, on va prendre ma situation comme exemple

Opprimé, moi ?

Si je regarde mon histoire dans la globalité, je dirais que je n’ai jamais vraiment vécu de réelles formes d’oppressions. Et pourtant, c’était mal barré…

Je suis noir, asexuel, un homme noir asexuel (sacré combo !), cycliste militant et conducteur de trains à la SNCF (là aussi sacré combo, on y reviendra plus tard).

En tant que noir, ma candeur de mes premières années m’a empêché de voir ou de comprendre que j’ai potentiellement été victime d’actes de racisme. À entendre les gens autour de moi, je suis l’exception qui confirme la règle, celui qui n’a jamais vécu de galères parce qu’il était noir. Mais je suis sûr qu’en cherchant un peu, je pourrais trouver d’autres interprétations, peut-être plus rationnelles de certaines de mes mésaventures…

En tant qu’asexuel, c’est presque pareil ? Si j’ai le chic pour me faire draguer sans m’en rendre compte, j’ai aussi envie d’interpréter certaines réactions face à mon sexualité comme une incompréhension de l’asexualité plutôt qu’une réelle négation de ma situation. Avec le recul, je découvre que certaines conversations que j’ai eu étaient en fait très violente, mais que j’ai développé une carapace face à ce genre d’attaques. Mais cette «carapace», qui ne se limite pas à ce sujet, mériterait un billet à lui tout seul !

En tant que cycliste militant, pas de doute, c’est de l’incompréhension. Je suis vu par certains, qui ne me connaissent visiblement pas (contexte de rencontres aidant pour certains), comme un écolo radical. Théoriquement, il n’est pas impossible que je puisse provoquer une crise cardiaque chez ses personnes en leur apprenant que je suis globalement pro-nucléaire, que j’aime le sport automobile, voire même l’automobile en tant qu’objet, que prendre l’avion fut l’une de mes plus belles expériences, etc. Encore heureux pour eux que je ne sois pas (encore ?) végétalien !

En tant que cheminot, maintenant…Voilà, vous connaissez tous la situation. Inutile pour moi de développer. Quand je ne fais pas grève, je suis payé une fortune en bossant une heure par jour (la preuve, c’est que je suis tout le temps chez moi ou sur les réseaux sociaux, à n’importe quel heure du jour et de la nuit…), en bénéficiant d’avantages sociaux indécents, dont celui de l’emploi à vie (bah oui, je suis fonctionnaire, quoi !). En repensant à ce vieux monsieur qui disait «bah oui, c’est pas compliqué comme métier !», l’ingénieur de formation que je suis se dit qu’il n’a peut-être plus d’espoir. Sur le fait que je sois tout le temps en retard, est-ce qu'on en est toujours au stade où il faut vous dédouaner de votre psychologie (voire vous prendre par la main), défaillante sur ce point précis ?

Harcèlement inconscients et blessures invisibles

Quand on me demande si je n’ai jamais été abusé sexuellement dans mon enfance lorsque j’explique que je suis asexuel, j’ai l’énorme chance de pouvoir répondre avec le plus grand détachement «non.». Pourtant, en posant cette question anodine pour moi, l’interlocuteur prend un gros risque, celui de raviver d’ancien souvenirs, souvent très douloureux, et avec la répétition, l’associer avec tout idée de coming out. 

Exemple : Éric, qui est asexuel, a rencontré Rebecca, qui lui plait vraiment. «il faudra bien que je lui dise que je suis asexuel». 
Imaginez que cette simple pensée soit associé à d’horribles antécédents familiaux.

Pour revenir sur mon cas, bien réel, il m’est arrivé la même chose. Par rapport à mon métier de conducteur de train. Je me fiche totalement que vous pensez que je sois fonctionnaire, que «je ne fous rien de mes journées» ou même que je sois prompt à faire grève. C’est tellement loin de la réalité que c’est est plutôt risible, et révèle ce côté «magie» de notre monde moderne (l’exemple de l’énergie (deuxième paragraphe), un exemple parmi des milliers, n’est pas encourageant dans l’idée de reprendre en main la situation plutôt que de se plaindre de l’incompétence d’un tel ou de tel autre - là aussi, c’est un autre sujet en attente !). Le plus grave est en fait, invisible.

Autant mon asexualité ne regarde que moi, autant le sujet qui va suivre implique davantage d’autres personnes, plus ou moins proches, aussi je n'expliciterais pas son origine. Toujours est-il que la déportation est pour moins l'événement le plus traumatisant de notre histoire. Pire que le «terrorisme actuel» ou encore les guerres de religions (et pourtant, la religion et moi….).

Je connais très bien la réalité de la déportation, et c’est même pour cela qu’il ne faut pas compter sur moi pour en parler (personnellement, après, je peux toujours citer des tiers célèbres qui s’expriment sur le sujet).

La SNCF a une part de responsabilité dans la déportation, c’est vrai. Là n’est pas lieu de faire des procès d’intention de dire si oui ou non, cela aurait pu se passer autrement…Pourtant, elle a été à l’origine de progrès techniques, technologiques, de révolutions sociales (si, si, si !!), et même si elle n’est plus tout à fait la référence mondiale dans le ferroviaire, elle reste dans le haut de panier en terme de savoir faire, d’influence au sein de son territoire, et cetera. Tout le monde sait que je suis passionné par le trains, mais peu de gens ont compris que si j’avais été britannique, espagnol, voire même belge, cela n’aurait peut-être pas été le cas….Si j’ai fait une école d’ingénieur, c’est pour découvrir, voire prolonger, les révolutions technologiques qu’entreprend la SNCF. Si j’ai choisi d’être conducteur par la filière manager traction, c’est aussi pour les qualités intrinsèques reconnues au personnes ayant fait ce parcours, LinkedIn et d’autres parlent pour moi. De telles motivations, je pourrais les multiplier à l’infini, mais là n’est pas le sujet.

Vous l’avez compris. D’un côté, une entreprise qui est toute ma vie (j’exagère à peine*), et de l’autre, ce terrible passé. Et de plus en plus de gens pour me rappeler le lien entre les deux. Je ne suis pas de ces gens, qui comme pour le passé colonial de l’Europe, l’esclavage et le commerce triangulaire, en veulent aux descendants de ces personnes, directs et indirect. Qu’ils demandent des excuses, je trouve que c’est presque trop, en demander d’avantage, on tombe dans l’indécence. Cela ne m’empêche pas pour autant d’éprouver quelque chose de particulier lorsque l’on parle de la seconde guerre mondiale, lorsque l’on me montre des locomotives à vapeur, lorsque l’on fait des blagues sur les juifs (qui dit blagues sur les juifs dit «parmi ces blagues y en a sur les camps de concentration»).


 
Ce wagon est un mémnorial pour nous rappeler ce douloureux épisode de la déportation. À l'évocation du mot wagon, une personne normalement constituée pense à un wagon citerne, un porte auto, ou les fameux wagons tomberau. Peut-être, s'il est moderne, aux wagons combinés route-rails avec leur cargaisons. Une personne liée de près ou de loin au traumatisme de la déportation pensera à ce wagon couvert pour transport de bestiaux (qui n'est plus «autorisé» à transporté des hommes depuis, contrairement à ce que les inscriptions pourraient laisser croire), un wagon d'un autre âge, qui n'a même pas de bogies !)

Et c’est bien dommage, parce que j’adore ces blagues ! Je suis un fan inconditionnel d’humoir noir (la tentation de l’autodérision est énorme, mais je dois ménager mon lectorat...bon d'accord, mais un gentillet alors). Mais de plus en plus, on tend à me faire associer ces deux pans d’une même réalité, alors que jusque là l’humour m’a toujours permis de dédramatiser. Même la tendance complotiste actuelle, qui tend vers l’antisémitisme, ou l’islamophobie (ah tient ! Le même lien que plus haut !), m’est insupportable pour des raisons analogues. Il est nauséabond de voir que ne rien comprendre au monde moderne («Il suffit d’appuyer sur un bouton pour avoir de la lumière, il me suffit d’un clic pour m’offir ces baskets, il me suffit de détester profondément Hollande pour qu’il soit remplacé par quelqu’un qui lui, sera compétent au moins…»), mène à des schémas de pensée tout aussi radicaux et socialement mieux acceptés car mieux répondu (mais peut-être pas moins nocif !).

Bon, les blagues sur les juifs, on ne vient pas sur ce sujet par hasard, non ? Je vous l’accorde, et dans ce cas, ça se passe généralement bien. C’est quand cela arrive accidentellement que c’est plus gênant. Lorsque la situation, souvent un malentendu, porte sur le fait que je suis noir, aucun problème, le plus gênant est de faire comprendre que cela ne me gène pas, et le malaise vient du fait que je vois que la ou les personnes sont mal à l’aise. Quand ça porte sur mon asexualité…«Bingo ! Vous venez de me mettre mal à l’aise en me faisant comprendre à quel point vous n’avez rien compris». Dans ces cas, je ne vous en veux pas non plus, si vous savez à quel point je n’ai rien compris à l’allosexualité (prise de conscience tardive qui plus est !). Quand ça porte sur le fait que je serais fonctionnaire, que la grève a pris tout un sens particulier pour moi maintenant que je suis cheminot : ne vous inquiétez pas, je vais mettre à profit mon nouveau temps libre pour terminer mon projet de conférence sur la situation énergétique actuelle et ses implications dans la société (extrapolation de la menace du diesel, pour celles et ceux qui veulent s’imaginer à quoi ça peut ressembler…).

Quant à ceux, qui parlent de wagons de marchandises là où il faudrait parler de voitures voyageurs, vous êtes la pire ignominie qu’il soit. Faire une erreur, ça peut arriver. Ne pas reconnaitre que l’on s’est trompé, c’est pôooo biennnnn ! Mais faire comme si cela était des plus banales, vous me foutez la gerbe. J’ai vu des gens pleurer, d’autres m’être d’une reconnaissance éternelle pour être intervenu, …non, je ne vais pas m’émpencher sur tout ce que ça m’évoque. Disons que j’aurais préféré avoir été au centre d’un réseau pédophile il y a 25 ans et que vous me demandiez si je suis asexuel parce que j’ai été abusé dans mon enfance, ça me ferais moins mal. Il ne s’agit pas de grammar-nazi (vous êtes à deux pas du point Godwin en m’envoyant cette insulte dans la tronche !).

Le seul truc du genre qui me fait «dresser les cheveux sur la tête», c’est parler d’électrocution pour une électrisation (Electrical Engineer Inside).


 Après ça, vous pouvez aller en vélo au docteur, lui faire montrer qu'au jour d'aujourd'hui, vous vous êtes blessé en montant en haut, et que c'était pas de votre faute, et que c'est compréhensif de s'inquiéter pour si peu, que vous auriez pu faire un infarctus, etc....Déjà, je ne suis moi-même pas exemplaire (décidément...). Ensuite, je peux faire la remarque si je sens que pour vous, c'est important de bien s'exprimer, mais à plus de deux, ne comptez pas sur moi, quelque soit votre volonté de bien faire ! En fait, c'est pas dans le langage que je vais chercher la petite bête, mais plutôt dans les math formelles. Vu le bestiaire d'énormités qui s'y trouve, c'est limite un lot de consolation de ne plus en faire de manière quotidienne car là y a matière à m’énerver ...


etc.

Pour finir, revenons sur l’oppression de manière généralisé (car ici je n’ai exposé qu’un cas particulier). Être correct lorsque l’on prend la parole sur le net, même si sur le net, vous êtes, efforcez-vous (comme dans «la vraie vie») à un minimum de correction. On va m’accuser d’usage de pente glissante, mais…N’oubliez pas que certains comportements, plus on moins innocents, ont poussé au suicide des internautes. L’idéal bien sur est d’en avoir conscience (sinon voici de quoi vous aider), et quand c’est le cas, posez-vous la question : est-ce que ça vaut le coup de faire cette blague ou cette allusion ? Si c’est dans mon personnage (côté provocateur de votre identité virtuelle ou réelle par exemple), est-ce que je ne pas gagner davantage l’attention de mon auditoire ou de mon lectorat autrement ?

Voilà, les cartes sont entre vos mains, à vous de faire d’Internet et de votre entourage un monde meilleur (sauf si vous n'aimez pas les chats...)

lundi 7 mars 2016

Suivez-moi, par ici !

L'idée de ce billet m'est venu d'un constat simple : si j'ai peu de publications sur ce blog, ce n'est pas faute de contenu et d'idées à partager. Même si je souhaite privilégier le format long, sur des sujets particuliers, et peu de publications à l'année, je ne voudrais pas que d'éventuelles lecteurs «réguliers» passent à côté de contenus qui ne rentrent pas dans ce cadre.

Aussi, ce que je peux partager ici, je le partage sur Facebook et sur Twitter ! Ce que je vous propose donc, c'est de m'y suivre entre deux billets sur ce blog ou des deux autres de mes blogs !

Facebook
Twitter
Google+ (j'y suis aussi mais presque moins actif qu'ici...)

Un petit mot sur ma ligne éditoriale...

Facebook : 
Tout d'abord, je vous demanderais simplement de vous abonner (pas une demande d'amis...sauf si vous tenez à me rencontrer personnellement !). En public, ma timeline ressemble à un flux RSS aux thématiques assez variées (globalement autour des questions touchant de près ou de loin à l'énergie, la mobilité, et d'autres rattachables à l'humanisme séculier).

Twitter : 
Twitter reprend actuellement tous mes posts Facebook publics, avec un extra plus informel, propre à l'esprit Twitter si l'on peut dire.

Google+ :
Si pour vous 3-5 publication par jours (voire plus !...) est trop pour vous, que vous vous sentez plus à l'aise avec le rythme de publication de ce blog, Google+ est une bonne option. Ici je ne publie que lorsqu'un sujet me paraît vraiment important, au point que ça vaille le coup de «le partager un maximum». Mais entre deux infos d'importance capitale, vous risquez un peu de vous ennuyer...


À très bientôt sur les réseaux sociaux !

mardi 5 janvier 2016

Introduction à un tout nouveau domaine - Jenny McCarthy Song

Cela commence par un appel à l'aide !

Je suis tombé sur le charme de cette petite balade de Brian ThompsonSeulement les paroles ont autant d'importance que la musique (sinon plus !), et je souhaitais les partager à un ami qui n'est pas très à l'aise avec l'anglais oral. N'ayant pas réussi à les trouver sur le net, j'ai alors réalisé quelles étaient mes propres limites ! Pouvez-vous m'aider à compléter les paroles ?

Hello, my name is Mysos
I’ve what you’ve got
I live in your system
[doute]

I used to be in danger
But now I have a friend
Her name is Jenny McCarthy
She brought me back from the dead

[??] Jenny hate vaccines
Like Superman hate [??]
She has a medical expertise
Because she’s a mom

I know what you’re sayin’
So is Susan Smith
She drove a car in a lake
When It was full of her kids

But I thank you to shut your mouth
Unless she’s planning a [??]
Because Jenny vaccine campaign
Is the only shot that I got

People thought I was eradicated
Just because they were educated
But Jenny rather I’d stay alive
Even if it means…your kids died

Hello, my name is mums
It’s just what I’m called
 You won’t make fun of my name
When I’m swelling your balls

Jenny says that my vaccines
Will mess your baby up
Even though there is no evidence
But the stuff she made

Yes I’m just [??]
What do you gonna do ?
All it take is a few untreated
And now I’m all of inside of you

People thought I was eradicated
Just because they were educated
But Jenny rather I’d stay alive
Even if it means…you’re infertile

Hello, my name is Rubella
I think you’ve met my friends
You don’t have to remember all our name
You heard them them again

Because a woman who picked her nose
On MTV
Is more interested that doctors
At the CDC

People thought I was eradicated
Just because they were educated
But Jenny rather I’d stay alive
Even if it means…your kids died [transcription difficile du final, mais je vous laisse apprécier =)]




Ceci fait, je vous expliquerais pourquoi je partage cela et comment j'en suis venu à tout un domaine que je souhaite aborder ici, domaine qui signera la renaissance de ce blog...